Dans cette famille de logiciels malveillants, la croissance n'est toutefois pas forte pour tout le monde et diverses tendances sont observées. Les adwares ou logiciels publicitaires n'ont plus la cote et sont remplacés par les sypwares ou logiciels espions, ce qui n'est pas forcément plus plaisant pour les victimes potentielles, d'autant que la hausse des spywares s'accompagne de celle des enregistreurs de frappes et chevaux de Troie bancaires.
L'immense majorité des nouveaux logiciels malveillants identifiés sont écrits pour le système d'exploitation Windows, soit 99,4 %.
Publié le
par Jérôme G.


Journaliste GNT spécialisé en nouvelles technologies
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