Les Etats-Unis avec sa légion de PC devenus zombies sont souvent pointés du doigt avec un rôle majeur joué dans le relais du spam à l’échelle mondiale. C’est en effet bien souvent le triste sort réservé à une machine qui via le concours d’un cheval de Troie de type Backdoor, passe sous contrôle pirate. Une fois n’est pas coutume, l’éditeur de solutions de sécurité G Data apporte un son de cloche un peu différent en soulignant que l’Europe ouvre également les bras aux PC zombies.
Selon une étude menée au premier trimestre 2008 à l’échelle de la planète, G Data affirme que chaque jour, ce sont 350 000 PC zombies qui sont utilisés dans le monde pour accomplir la basse besogne des cybercriminiels, avec des pointes à 700 000 PC zombies lors de pics d’activité. 43 % de ces PC se situent en Europe avec une préférence clairement affichée pour l’Allemagne et l’Italie qui hébergent 20 % des PC zombies dans le monde. Si l’Europe a le vent en poupe dans ce domaine, le développement de l’Internet haut débit n’y est probablement pas étranger. Pour le cas de la France, ce taux tombe à moins de 2 %, un manque d’hospitalité dont on ne lui tiendra pas rigueur pour une fois.
Outre le risque lié à la diffusion de spam, les réseaux de PC zombies (ou botnets) sont également impliqués dans le phishing en servant d’hôtes pour des pages malveillantes contenant parfois des codes dangereux, et les attaques par déni de service qui sont cependant de moins en moins à la mode.
G Data avance qu’au cours des deux dernières années, " le nombre de bugs (backdoors) qui permettent de contrôler à distance les ordinateurs infectés et de les nourrir avec d’autres codes malveillants a presque quintuplé ". Pourtant, une solution antivirale à jour et un pare-feu doivent suffire à se préserver d’une telle menace. Cette simple mesure de sécurité faisant désormais presque office de norme en la matière, a visiblement encore du mal à être mise en application par les utilisateurs.
Selon une étude menée au premier trimestre 2008 à l’échelle de la planète, G Data affirme que chaque jour, ce sont 350 000 PC zombies qui sont utilisés dans le monde pour accomplir la basse besogne des cybercriminiels, avec des pointes à 700 000 PC zombies lors de pics d’activité. 43 % de ces PC se situent en Europe avec une préférence clairement affichée pour l’Allemagne et l’Italie qui hébergent 20 % des PC zombies dans le monde. Si l’Europe a le vent en poupe dans ce domaine, le développement de l’Internet haut débit n’y est probablement pas étranger. Pour le cas de la France, ce taux tombe à moins de 2 %, un manque d’hospitalité dont on ne lui tiendra pas rigueur pour une fois.
Outre le risque lié à la diffusion de spam, les réseaux de PC zombies (ou botnets) sont également impliqués dans le phishing en servant d’hôtes pour des pages malveillantes contenant parfois des codes dangereux, et les attaques par déni de service qui sont cependant de moins en moins à la mode.
G Data avance qu’au cours des deux dernières années, " le nombre de bugs (backdoors) qui permettent de contrôler à distance les ordinateurs infectés et de les nourrir avec d’autres codes malveillants a presque quintuplé ". Pourtant, une solution antivirale à jour et un pare-feu doivent suffire à se préserver d’une telle menace. Cette simple mesure de sécurité faisant désormais presque office de norme en la matière, a visiblement encore du mal à être mise en application par les utilisateurs.