Si les conclusions de cette enquête ne sont pas encore tombées, il semble que les investigations continuent du côté de Bruxelles. À en croire certaines sources citées par l’agence de presse Reuters, le groupe californien ne ferait plus l’objet de quatre plaintes, mais de neuf plaintes à présent. Deux autres sociétés et trois régulateurs nationaux auraient en effet rejoint la partie plaignante.
Rappelons que si Google est reconnu coupable d’abus de position dominante, il risque une amende pouvant représenter jusqu’à 10 % de son chiffre d’affaires mondial. Et la Commission européenne en est tout à faire capable. D’autres grosses entreprises américaines, à savoir Intel et Microsoft, en ont déjà fait les frais par le passé, avec des amendes astronomiques.