Pour autant, les millions de pages déjà numérisées demeureront toujours accessibles, soit plus de 3,5 millions de publications de plus de 2 000 journaux à travers le monde. De quoi remonter jusqu'en 1752 pour la publication la plus ancienne.
Selon l'AFP, cet arrêt est motivé par le fait que les journaux cherchent à tirer bénéfice des anciens articles numérisés, et préfèrent ainsi éviter de tomber dans le gratuit.
C'est aussi une nouvelle stratégie pour Google qui tente de séduire l'industrie avec des projets comme Pass Média, une plateforme afin que les éditeurs de presse puissent vendre du contenu et des abonnements directement depuis leurs propres sites.