Les grandes lignes de l'APEC ont été acceptées par de nombreuses nations d'Asie-Pacifique dont l'Australie ou bien encore le Vietnam. " Si les principes de la vie privée trouvent écho dans de tels pays divergents, alors nous pensons que cela peut être le cas pour le reste du monde ", a déclaré Fleischer, ajoutant qu'il voyait " un manque concernant les standards de la vie privée " de par le monde.
Par cette annonce, Google essaie donc de montrer sa volonté de coopérer avec les instances internationales, lui qui est si souvent comparé au Big Brother tant il domine le monde du Web. Le numéro un de la recherche sur Internet détient en effet de nombreuses informations sur une grande majorité des internautes, ce qui ne manque pas de soulever des interrogations, surtout depuis le rachat de la régie publicitaire DoubleClick. Bruxelles enquête d'ailleurs actuellement sur cette acquisition.