L' ACCC ( Australian Competition and Consumer Commission ) a en effet accusé Google de tromper les internautes avec les liens sponsorisés qui s'affichent sur ses pages de résultats, ce qui représente une source de revenus pour les moteurs de recherche vendant cet espace publicitaire.
Cette commission a également demandé à Google d'arrêter de publier des résultats de recherches qui ne permettent pas de distinguer des liens payés par la publicité de résultats " organiques ", expliquent nos confrères de l'AFP.
" L'ACCC estime que Google, en ne réussissant pas à distinguer de manière adéquate les liens sponsorisés des liens 'organiques', s'est engagé et continue à s'engager dans une attitude de tromperie et de mensonge ", explique le régulateur dans son communiqué.
La commission souhaite que la Cour fédérale statue sur le fait que Google ait enfreint la législation sur les pratiques commerciales et demande des injonctions pour empêcher Google de publier des résultats de recherche qui ne distinguent pas les liens sponsorisés des liens classiques.
Selon Shara Evans, directrice du cabinet de consultants informatiques Market Clarity, cette affaire pourrait avoir des répercussions majeures si la justice estime que le moteur de recherche est responsable de l'entière gestion de son activité de régie publicitaire : " Cela aurait un réel impact si Google devait jouer un rôle de régulateur des contenus publicitaires, ce qui, je pense, entraînerait un tremblement de terre dans l'industrie ".
D'après l'ACCC, cette affaire n'a aucun précédent au niveau mondial. Google Inc, Google Ireland et Google Australia sont les trois entités impliquées dans cette affaire, la dernière ayant déclaré qu'elle résisterait à cette attaque. " Ces réclamations sont sans motivation et nous nous défendrons vigoureusement contre elles ", a assuré Rob Shilkin, porte-parole de Google.
Une première audience devrait avoir lieu le 21 août à la Cour fédérale.
Cette commission a également demandé à Google d'arrêter de publier des résultats de recherches qui ne permettent pas de distinguer des liens payés par la publicité de résultats " organiques ", expliquent nos confrères de l'AFP.
" L'ACCC estime que Google, en ne réussissant pas à distinguer de manière adéquate les liens sponsorisés des liens 'organiques', s'est engagé et continue à s'engager dans une attitude de tromperie et de mensonge ", explique le régulateur dans son communiqué.
La commission souhaite que la Cour fédérale statue sur le fait que Google ait enfreint la législation sur les pratiques commerciales et demande des injonctions pour empêcher Google de publier des résultats de recherche qui ne distinguent pas les liens sponsorisés des liens classiques.
Selon Shara Evans, directrice du cabinet de consultants informatiques Market Clarity, cette affaire pourrait avoir des répercussions majeures si la justice estime que le moteur de recherche est responsable de l'entière gestion de son activité de régie publicitaire : " Cela aurait un réel impact si Google devait jouer un rôle de régulateur des contenus publicitaires, ce qui, je pense, entraînerait un tremblement de terre dans l'industrie ".
D'après l'ACCC, cette affaire n'a aucun précédent au niveau mondial. Google Inc, Google Ireland et Google Australia sont les trois entités impliquées dans cette affaire, la dernière ayant déclaré qu'elle résisterait à cette attaque. " Ces réclamations sont sans motivation et nous nous défendrons vigoureusement contre elles ", a assuré Rob Shilkin, porte-parole de Google.
Une première audience devrait avoir lieu le 21 août à la Cour fédérale.