Jonathan Cobb a déposé une plainte mercredi dernier aux Etats-Unis à l'encontre de Google. Objet du litige, la fonction Sky de Google Earth.
Introduite en août 2007, cette fonction permet de quitter le plancher des vaches avec le célèbre logiciel de Google, pour se lancer dans l'exploration du ciel, à la découverte des étoiles, constellations et autres planètes. Cobb revendique la paternité de cette idée.
25 millions de dollars pour idée prétendument volée
Employé en tant que contractuel, Cobb dit avoir présenté de façon détaillée cette idée de Sky, dans un groupe de discussion interne de Google en 2006. Dans ce groupe, auraient pris part les responsables impliqués dans le développement et la conduite du projet Google Earth. Selon Cobb, plusieurs points qu'il aurait évoqués dont l'interface utilisateur, feraient aujourd'hui les beaux jours de Sky.
Avec l'appui de la société WorkforceLogic via laquelle il a oeuvré en tant que contractuel chez Google, Jonathan cherche à obtenir des dédommagements à hauteur de 25 millions de dollars. Nos confrères d'InformationWeek qui se font l'écho de cette affaire, n'ont pas été en mesure d'obtenir des réactions des principaux intéressés.
Introduite en août 2007, cette fonction permet de quitter le plancher des vaches avec le célèbre logiciel de Google, pour se lancer dans l'exploration du ciel, à la découverte des étoiles, constellations et autres planètes. Cobb revendique la paternité de cette idée.
25 millions de dollars pour idée prétendument volée
Employé en tant que contractuel, Cobb dit avoir présenté de façon détaillée cette idée de Sky, dans un groupe de discussion interne de Google en 2006. Dans ce groupe, auraient pris part les responsables impliqués dans le développement et la conduite du projet Google Earth. Selon Cobb, plusieurs points qu'il aurait évoqués dont l'interface utilisateur, feraient aujourd'hui les beaux jours de Sky.
Avec l'appui de la société WorkforceLogic via laquelle il a oeuvré en tant que contractuel chez Google, Jonathan cherche à obtenir des dédommagements à hauteur de 25 millions de dollars. Nos confrères d'InformationWeek qui se font l'écho de cette affaire, n'ont pas été en mesure d'obtenir des réactions des principaux intéressés.