Les termes de cette transaction entre le numéro un de la recherche Web et l'entreprise spécialisée dans la création de connexions sécurisées pour protéger les messageries électroniques et les internautes de code malveillant n'ont pas été dévoilés, a précisé Aaron Zamost, porte-parole de Google relayé par Reuters.
Fondée en 2001 et elle aussi basée à Mountain View, la startup GreenBorder propose des solutions de sécurité qui mettent en place de manière temporaire des sessions virtuelles à chaque fois que des internautes veulent accéder au Web et qui se débarrassent ensuite des données accumulées lors de la session lorsque celle-ci est terminée.
Vers un nouveau service de Google ?
L'application de GreenBorder permet ainsi à des techniciens d'isoler les réseaux d'entreprises de telle manière que du code malicieux pouvant s'infiltrer par l'intermédiaire d'e-mail, de messages instantanés ou de sites Web malveillants est détecté puis mis hors d'état de nuire.
D'après Neil MacDonald, analyste chez Gartner, la technique de " virtualisation " de GreenBorder vient directement concurrencer des solutions similaires proposées par Microsoft et VMWare. En outre, les produits délivrés par cette startup ne nécessitent qu'une seule licence Windows pour fonctionner. Zamost a refusé de commenter les ambitions de Google suite à ce rachat et n'a pas souhaité confirmer ou infirmer le fait que la firme puisse utiliser ces solutions de sécurité pour les intégrer dans sa gamme de services déjà très étoffée.
Concrètement, cette technologie permet de créer une zone sécurisée appelée sandbox et spécialement destinée aux internautes. " Tout type d'activité ou d'interaction lorsque vous êtes connectés sur le Web sera dirigé vers l'environnement protégé " indique le site Web de GreenBorder, ce qui explique aisément le choix d'un tel nom d'entreprise.
Suite à cette acquisition, la startup GreenBorder, qui proposait également une version gratuite de sa solution, a suspendu l'achat de licences produits mais continuera d'assurer le support pour ses clients existants jusqu'au terme de leurs souscriptions.
Fondée en 2001 et elle aussi basée à Mountain View, la startup GreenBorder propose des solutions de sécurité qui mettent en place de manière temporaire des sessions virtuelles à chaque fois que des internautes veulent accéder au Web et qui se débarrassent ensuite des données accumulées lors de la session lorsque celle-ci est terminée.
Vers un nouveau service de Google ?
L'application de GreenBorder permet ainsi à des techniciens d'isoler les réseaux d'entreprises de telle manière que du code malicieux pouvant s'infiltrer par l'intermédiaire d'e-mail, de messages instantanés ou de sites Web malveillants est détecté puis mis hors d'état de nuire.
D'après Neil MacDonald, analyste chez Gartner, la technique de " virtualisation " de GreenBorder vient directement concurrencer des solutions similaires proposées par Microsoft et VMWare. En outre, les produits délivrés par cette startup ne nécessitent qu'une seule licence Windows pour fonctionner. Zamost a refusé de commenter les ambitions de Google suite à ce rachat et n'a pas souhaité confirmer ou infirmer le fait que la firme puisse utiliser ces solutions de sécurité pour les intégrer dans sa gamme de services déjà très étoffée.
Concrètement, cette technologie permet de créer une zone sécurisée appelée sandbox et spécialement destinée aux internautes. " Tout type d'activité ou d'interaction lorsque vous êtes connectés sur le Web sera dirigé vers l'environnement protégé " indique le site Web de GreenBorder, ce qui explique aisément le choix d'un tel nom d'entreprise.
Suite à cette acquisition, la startup GreenBorder, qui proposait également une version gratuite de sa solution, a suspendu l'achat de licences produits mais continuera d'assurer le support pour ses clients existants jusqu'au terme de leurs souscriptions.