Pour rappel, Booble propose aux adultes un moteur de recherche à contenu pornographique tout en utilisant en majeure partie le design de Google.
Les ressemblances frappantes du site se sont vite ébruitées jusqu'à Google et surtout à ses avocats. La loi sur la protection des marques de commerce permettrait à ces derniers de gagner leur cause en obligeant la désactivation du site Booble ainsi que le transfert du nom de domaine vers Google.
La différence avec l'histoire "MikeRoweSoft" est que dans ce cas présent, le créateur a copié l'interface du site et par conséquent rend Booble illégal. De ce fait, pas de cadeau à espérer pour les créateurs de Booble contrairement à ce qu'avait fait Microsoft pour le jeune étudiant Canadien.
La copie de la lettre (en anglais) envoyée par les avocats de Google peut être consultée ici.
Source : Branchez-vous