Les lancements s'enchaînent à un rythme régulier pour le système russe de positionnement par satellites Glonass, dont l'état d'avancement est suivi de près par Vladimir Poutine. Après la mise en orbite de trois satellites fin octobre 2007, ce sont les trois derniers de la constellation qui ont été lancés ce 25 décembre, offrant un maillage de 24 satellites opérationnels d'abord sur le territoire russe, puis sur l'ensemble du globe d'ici la fin de l'année 2009.
Soutenu par le gouvernement russe, ce système de positionnement veut concurrencer les constellations GPS des Etats-Unis et Galileo européen, ce dernier ne devant pas être disponible avant 2012 ou 2013 au mieux.
Glonass opérationnel dès 2008
Glonass, autrefois constellation militaire tombée en désuétude après l'effondrement du bloc soviétique, a été rénovée pour offrir également des services civils de positionnement et garantir l'indépendance de la Russie dans ce domaine, un objectif que recherche également l'Europe.
Mais, à la différence de Galileo, Glonass va pouvoir profiter de la période de creux précédant la rénovation du système GPS américain via des satellites dits GPS III, prévu pour 2013. De quoi sécuriser de précieux accords commerciaux avec d'autres pays, notamment du côté de l'Asie.
Les trois derniers satellites ont été lancés depuis le célèbre site de Baïkonour, sur le territoire du Kazhakstan. C'est un nouveau rival dans le domaine des usages du satellite qui émerge à l'heure où l' Europe, est toujours en discussion sur les modalités techniques de la création de son propre système de géolocalisation.
Soutenu par le gouvernement russe, ce système de positionnement veut concurrencer les constellations GPS des Etats-Unis et Galileo européen, ce dernier ne devant pas être disponible avant 2012 ou 2013 au mieux.
Glonass opérationnel dès 2008
Glonass, autrefois constellation militaire tombée en désuétude après l'effondrement du bloc soviétique, a été rénovée pour offrir également des services civils de positionnement et garantir l'indépendance de la Russie dans ce domaine, un objectif que recherche également l'Europe.
Mais, à la différence de Galileo, Glonass va pouvoir profiter de la période de creux précédant la rénovation du système GPS américain via des satellites dits GPS III, prévu pour 2013. De quoi sécuriser de précieux accords commerciaux avec d'autres pays, notamment du côté de l'Asie.
Les trois derniers satellites ont été lancés depuis le célèbre site de Baïkonour, sur le territoire du Kazhakstan. C'est un nouveau rival dans le domaine des usages du satellite qui émerge à l'heure où l' Europe, est toujours en discussion sur les modalités techniques de la création de son propre système de géolocalisation.