Le très controversé Grand Theft Auto a toujours su attirer les foudres de la polémique et ce, dès les premiers épisodes de la série. Un jeu plongeant le joueur dans la peau d'un gangster pouvant semer la peur et la destruction de façon gratuite dans une ville a bien sûr le mérite de ne pas être politiquement correct. Concernant le prochain opus de la série, à savoir le vrai GTA IV, un avocat du nom de Jack Thompson refuse l'idée de laisser Rockstar commercialiser la galette sur Xbox 360 le 16 octobre prochain (le 19 octobre en Europe). Encore faut-il savoir que ce n'est pas la première action de l'avocat originaire de Floride envers le milieu du jeu vidéo...
Round 1... Fight !
Jack Thompson avait d'ores et déjà un projet en tête au niveau de la classification de jeux, en plus du PEGI existant. Il avait déclaré vouloir ajouter un carré rouge en bas de la pochette, dans le cadre où le jeu en question serait à caractère violent ou sexuel.
Bien entendu, Rockstar n'échappe pas aux foudres de l'avocat, et ce n'est pas la première fois. En 2005 déjà, il avait mené une action contre GTA, certifiant que ses développeurs sont entièrement responsables des divers crimes commis aux Etats-Unis. L'affaire n'avait pas été plus loin étant donné qu'il fut poussé de se retirer du procès, via le cabinet d'avocat Blank Home.
Be ready... Round 2 !
Mais notre Jack international ne s'arrête pas là puisqu'il remet le couvert pour GTA IV. Cette fois-ci, il se prend en amont de la sortie du soft, en s'adressant directement à Bill Gates en expédiant un e-mail de masse intitulé "Bill Gates in the crosshairs", dans lequel il affirme clairement qu'il interdira par divers moyens la distribution de GTA IV : "Merci de faire en sorte que vos avocats prennent contact avec moi pour que de telles ventes soient empêchées. [...] Si de telles mesures ne sont pas prises, le jeu sera vendu dès sa sortie à des millions de mineurs. Je resterai attentif et veillerai à ce que cela ne se reproduise pas. Moi-même et d'autres personnes essayeront d'arrêter Microsoft à participer à cette mode de violence accessible aux mineurs."
C'est à croire que Jack Thompson a réellement une dent contre le marché vidéo-ludique. Récemment, il s'est attaqué à un autre jeu de Rockstar, à savoir Bully ou encore Halo 3 de Bungie Software. Ce dernier aurait l'intention de véhiculer des idées commanditaires poussant au génocide... Affaire(s) à suivre, donc.
Round 1... Fight !
Jack Thompson avait d'ores et déjà un projet en tête au niveau de la classification de jeux, en plus du PEGI existant. Il avait déclaré vouloir ajouter un carré rouge en bas de la pochette, dans le cadre où le jeu en question serait à caractère violent ou sexuel.
Bien entendu, Rockstar n'échappe pas aux foudres de l'avocat, et ce n'est pas la première fois. En 2005 déjà, il avait mené une action contre GTA, certifiant que ses développeurs sont entièrement responsables des divers crimes commis aux Etats-Unis. L'affaire n'avait pas été plus loin étant donné qu'il fut poussé de se retirer du procès, via le cabinet d'avocat Blank Home.
Be ready... Round 2 !
Mais notre Jack international ne s'arrête pas là puisqu'il remet le couvert pour GTA IV. Cette fois-ci, il se prend en amont de la sortie du soft, en s'adressant directement à Bill Gates en expédiant un e-mail de masse intitulé "Bill Gates in the crosshairs", dans lequel il affirme clairement qu'il interdira par divers moyens la distribution de GTA IV : "Merci de faire en sorte que vos avocats prennent contact avec moi pour que de telles ventes soient empêchées. [...] Si de telles mesures ne sont pas prises, le jeu sera vendu dès sa sortie à des millions de mineurs. Je resterai attentif et veillerai à ce que cela ne se reproduise pas. Moi-même et d'autres personnes essayeront d'arrêter Microsoft à participer à cette mode de violence accessible aux mineurs."
C'est à croire que Jack Thompson a réellement une dent contre le marché vidéo-ludique. Récemment, il s'est attaqué à un autre jeu de Rockstar, à savoir Bully ou encore Halo 3 de Bungie Software. Ce dernier aurait l'intention de véhiculer des idées commanditaires poussant au génocide... Affaire(s) à suivre, donc.
Source :
Next Generation