Il y a quelques mois, Uber annonçait avoir lancé une grande enquête suite au rassemblement de plus de 200 plaintes internes sur fond de harcèlement sexuel, discrimination ou intimidation. Finalement, l'entreprise américaine a partagé les résultats de cette dernière :
"Nous avons enquêté sur 215 plaintes au total, qui étaient liées à de la discrimination, du harcèlement sexuel, des comportements déplacés, de l’intimidation, du harcèlement, des mesures de rétorsion ou bien relatives à des questions de sécurité. Les plaintes émanaient de salariés du monde entier, mais la plupart venaient de personnes basées à San Francisco " rapporte l'AFP.
Uber a donc annoncé prendre des "mesures rapides et claires" lorsque les faits étaient avérés avec à la clé le licenciement de 20 salariés. En février dernier, c'est le directeur technique d'Uber, Amit Singhal qui démissionnait après avoir caché la plainte pour harcèlement sexuel qui le concernait chez son précédent employeur Google.