Sympathique dans le fond, Hellgate : London (consultez notre test) a voulu trop bien faire et offrir aux joueurs d’innombrables perspectives d’évolution. Cette ambition a été cependant contrariée par des mécanismes de jeu figés ainsi que des quêtes rébarbatives à souhait. A cela s’ajoute de nombreux problèmes de saccade et de plantages divers.
La récente fermeture de Flagship Studios aura très certainement précipité les choses. Un temps rassurant, Namco a fini par céder et accepter cette dure réalité financière. Peu rentables, les serveurs de Hellgate : London fermeront d’ici trois mois, le temps que les derniers abonnés puissent profiter de leur abonnement parfois onéreux.
Une rapide descente aux enfers
On pense notamment à ceux qui ont eu la malchance d’acheter des abonnements à vie. L’aventure n’aura duré que quinze courts mois, un délai excessivement court pour rentabiliser un tel achat. Pourtant le jeu était parti sur de bonnes bases, qui loin d’être excellentes, lui permettait au moins d’assurer des honnêtes performances.
Par manque de temps et d’argent, le projet n’a pu arriver à maturité et assainir ses nombreuses fuites. Le temps a eu raison de ce pharaonique projet, en l’espace de seulement six mois l’affluence des serveurs a dramatiquement baissé au point de mettre le studio sur la paille. Dans une situation moins précaire, Namco a aujourd’hui préféré jouer la carte de la prudence, on comprend pourquoi.
L’ensemble des serveurs européens, américains et asiatiques fermeront donc le 31 janvier prochain.
La récente fermeture de Flagship Studios aura très certainement précipité les choses. Un temps rassurant, Namco a fini par céder et accepter cette dure réalité financière. Peu rentables, les serveurs de Hellgate : London fermeront d’ici trois mois, le temps que les derniers abonnés puissent profiter de leur abonnement parfois onéreux.
Une rapide descente aux enfers
On pense notamment à ceux qui ont eu la malchance d’acheter des abonnements à vie. L’aventure n’aura duré que quinze courts mois, un délai excessivement court pour rentabiliser un tel achat. Pourtant le jeu était parti sur de bonnes bases, qui loin d’être excellentes, lui permettait au moins d’assurer des honnêtes performances.
Par manque de temps et d’argent, le projet n’a pu arriver à maturité et assainir ses nombreuses fuites. Le temps a eu raison de ce pharaonique projet, en l’espace de seulement six mois l’affluence des serveurs a dramatiquement baissé au point de mettre le studio sur la paille. Dans une situation moins précaire, Namco a aujourd’hui préféré jouer la carte de la prudence, on comprend pourquoi.
L’ensemble des serveurs européens, américains et asiatiques fermeront donc le 31 janvier prochain.