Les aspects de la sécurité des services BlackBerry, commercialisés par la société canadienne Research in Motion ( RIM ), sont de nouveau au coeur des inquiétudes des gouvernements, et le dernier à s'en préoccuper est le pouvoir indien, selon le journal local Business Standard.
Les agences gouvernementales indiennes veulent avoir accès aux algorithmes de chiffrement du service de messagerie afin de pouvoir intercepter et contrôler les échanges. La demande est pressante puisque l'autorité indienne menace de ne pas renouveler les licences des services BlackBerry, détenues par quatre opérateurs dans le pays, dès la fin du mois de mars si elle n'obtient pas satisfaction.
Une situation bloquée ?
Les différentes parties, représentants gouvernementaux, opérateurs et interlocuteurs de RIM, doivent se réunir cette semaine pour tenter de trouver une issue au problème. Mais pour plusieurs observateurs, RIM n'est pas tenue de livrer ses techniques, qui relèvent du secret industriel.
Pourtant, la loi indienne sur les technologies de l'information de 2000 autorise le gouvernement, dans certaines conditions ( notamment la lutte antiterroriste ), à intercepter les communications électroniques au nom de l'intérêt du pays.
RIM est présente sur le marché depuis plusieurs années et représentée dans plus de 130 pays, dans lesquelles elle respecte les réglementations en vigueur. Elle est au service de 12 millions de clients, dont 400.000 estimés en Inde.
Les agences gouvernementales indiennes veulent avoir accès aux algorithmes de chiffrement du service de messagerie afin de pouvoir intercepter et contrôler les échanges. La demande est pressante puisque l'autorité indienne menace de ne pas renouveler les licences des services BlackBerry, détenues par quatre opérateurs dans le pays, dès la fin du mois de mars si elle n'obtient pas satisfaction.
Une situation bloquée ?
Les différentes parties, représentants gouvernementaux, opérateurs et interlocuteurs de RIM, doivent se réunir cette semaine pour tenter de trouver une issue au problème. Mais pour plusieurs observateurs, RIM n'est pas tenue de livrer ses techniques, qui relèvent du secret industriel.
Pourtant, la loi indienne sur les technologies de l'information de 2000 autorise le gouvernement, dans certaines conditions ( notamment la lutte antiterroriste ), à intercepter les communications électroniques au nom de l'intérêt du pays.
RIM est présente sur le marché depuis plusieurs années et représentée dans plus de 130 pays, dans lesquelles elle respecte les réglementations en vigueur. Elle est au service de 12 millions de clients, dont 400.000 estimés en Inde.
Source :
Reuters