
Intel avait déclaré avoir entendu les plaintes de la Japan Fair Trade Commission mais avait nié leur bien fondé.
La situation n'est pas prête de s'améliorer puisque le Japon vient de déclarer que Intel ne fait plus partie de la liste des fournisseurs potentiels du ministère japonais des Transports et des Infrastructures pour les commandes publiques.
Intel marque donc un mauvais point puisque le Japon fait partie des pays dont l'administration est la mieux équipée en terme de micro-informatique.