C'est fin juin que la branche Radiocommunication de l' ITU ( International Telecommunication Union ), ou ITU-R, s'est réunie à Dubai pour décider des spécifications à faire entrer dans le groupe IMT-Advanced, qui doit représenter les technologies réseaux pour la 4G.
Chaque groupe a son candidat potentiel, WiMAX pour l' IEEE ( Institute of Electrical and Electronics Engineers ), avec le Gigabit WiMAX 802.16m, LTE pour le 3GPP ( 3rd Generation Partnership Project ), avec LTE-Advanced.
Attention, certains opérateurs, notamment aux Etats-Unis, qualifient improprement les normes WiMAX ( 802.16e ) et LTE ( Long Term Evolution ) de " 4G " alors qu'elles appartiennent au groupe IMT caractérisant la 3G.
Si rien n'a encore transpiré des choix officiels faits par l' ITU, on sait déjà que les technologies réseaux 4G devront tendre vers des débits de 100 Mbps en situation de mobilité réelle et de 1 Gbps pour les points d'accès locaux ou en mobilité réduite, avec des temps de latence de l'ordre de moins de 10 millisecondes et de moins de 100 millisecondes pour initier une session.
Beaucoup de détails à régler
L'une des inconnues portera sur la fourniture des bandes de fréquences. Les technologies IMT-Advanced nécessiteront de larges portions de spectre qui vont demander d'importantes régulations au niveau des gouvernements pour trouver les ressources adéquates.
Un espoir réside dans la redistribution d'une partie du spectre libéré par le passage à la diffusion numérique de la télévision, constituant le dividende numérique. Des études prospectives tentent de montrer l'intérêt pour l'économie de réserver une portion aux services mobiles.
L'autre grande interrogation porte sur le choix des technologies 4G. Les deux principaux candidats, WiMAX et LTE, ont chacun leurs avantages et sont fortement soutenus par des groupes industriels, au risque de se retrouver comme pour la 2G et la 3G avec deux technologies incompatibles, le GSM et le CDMA. A moins que, comme cela a été évoqué à plusieurs reprises, les développements de WiMAX et LTE puissent être rapprochés à un moment.
Une fois que les premières spécifications IMT-Advanced seront publiées, l' ITU commencera à recueillir à partir du mois d'octobre les dossiers des technologies candidates appelées à devenir les normes des réseaux cellulaires pour les quinze ans à venir.
Chaque groupe a son candidat potentiel, WiMAX pour l' IEEE ( Institute of Electrical and Electronics Engineers ), avec le Gigabit WiMAX 802.16m, LTE pour le 3GPP ( 3rd Generation Partnership Project ), avec LTE-Advanced.
Attention, certains opérateurs, notamment aux Etats-Unis, qualifient improprement les normes WiMAX ( 802.16e ) et LTE ( Long Term Evolution ) de " 4G " alors qu'elles appartiennent au groupe IMT caractérisant la 3G.
Si rien n'a encore transpiré des choix officiels faits par l' ITU, on sait déjà que les technologies réseaux 4G devront tendre vers des débits de 100 Mbps en situation de mobilité réelle et de 1 Gbps pour les points d'accès locaux ou en mobilité réduite, avec des temps de latence de l'ordre de moins de 10 millisecondes et de moins de 100 millisecondes pour initier une session.
Beaucoup de détails à régler
L'une des inconnues portera sur la fourniture des bandes de fréquences. Les technologies IMT-Advanced nécessiteront de larges portions de spectre qui vont demander d'importantes régulations au niveau des gouvernements pour trouver les ressources adéquates.
Un espoir réside dans la redistribution d'une partie du spectre libéré par le passage à la diffusion numérique de la télévision, constituant le dividende numérique. Des études prospectives tentent de montrer l'intérêt pour l'économie de réserver une portion aux services mobiles.
L'autre grande interrogation porte sur le choix des technologies 4G. Les deux principaux candidats, WiMAX et LTE, ont chacun leurs avantages et sont fortement soutenus par des groupes industriels, au risque de se retrouver comme pour la 2G et la 3G avec deux technologies incompatibles, le GSM et le CDMA. A moins que, comme cela a été évoqué à plusieurs reprises, les développements de WiMAX et LTE puissent être rapprochés à un moment.
Une fois que les premières spécifications IMT-Advanced seront publiées, l' ITU commencera à recueillir à partir du mois d'octobre les dossiers des technologies candidates appelées à devenir les normes des réseaux cellulaires pour les quinze ans à venir.
Source :
Unstrung