Mais parce qu'il a fonctionné sur une durée de l'ordre de la picoseconde, l'énergie nécessaire pour générer ce flux n'était guère différente de celle d'un micro-ondes fonctionnant pendant deux secondes. Son secret réside dans un verre spécial qui a permis d'amplifier fortement la puissance du faisceau initial.
Un tel système pourra avoir des applications industrielles de haut niveau mais l'équipe de chercheurs de l'Université d'Osaka réfléchit déjà à augmenter la puissance du faisceau jusqu'à 10 petawatts.