Dans un communiqué paru mardi, Red Hat annonce que soucieux de se libérer du joug des solutions propriétaires, le ministère de l' Education Nationale fait le choix de l' Open Source. Derrière cette déclaration au ton guerrier, il faut y voir la décision prise par le ministère d'une migration sur Red Hat Enterprise Linux de 2 500 de ses serveurs hébergés dans les différents services académiques (30 rectorats) répartis sur l'ensemble du territoire.
Cela ne constitue pas une réelle surprise puisqu'il y a bien longtemps que ce ministère a décidé d'investir dans des solutions standards Open Source pour se libérer des contraintes liées au choix de solutions trop propriétaires (prix des licences, utilisation de matériels et d' OS propriétaires indissociables, ...). C'est ainsi qu'en 2004, plus de 95% des serveurs fonctionnaient sous Linux, un taux proche de 100% aujourd'hui avec l'arrêt des derniers serveurs AIX d' IBM fin 2006, précise Michel Affre, responsable des Systèmes d' Information dédiés aux académies.
" Plus de 3000 serveurs de production - soit 80 à 120 serveurs par rectorat - tournent aujourd'hui sous Linux dont plus de 80% sous Red Hat Enterprise Linux. Tous nos applicatifs, depuis nos applications financières, jusqu'à nos outils de gestion des examens, en passant par la gestion du personnel, la gestion des élèves et les actes administratifs quotidiens fonctionnent sous Red Hat Enterprise Linux. Les fournisseurs d'applications, développeurs internes et prestataires externes, sont dans l'obligation par le biais des cahiers des charges ou de référentiels d'assurer la compatibilité avec Linux et principalement Red Hat Enterprise Linux dès le début de la phase de développement ou d'intégration ", déclare Michel Affre.
L' Open Source semble donc être dans les bonnes grâces de l' Etat français puisque un autre ministère, celui de l' Agriculture, a également entamé sa migration en portant son choix sur Mandriva en lieu et place de Windows NT (400 serveurs concernés) dans la lignée du ministère de la Culture qui l'a précédé en 2002, sans oublier les députés de l' Assemblée nationale auxquels sont proposés des postes informatiques dotés d'une distribution Ubuntu.
Cela ne constitue pas une réelle surprise puisqu'il y a bien longtemps que ce ministère a décidé d'investir dans des solutions standards Open Source pour se libérer des contraintes liées au choix de solutions trop propriétaires (prix des licences, utilisation de matériels et d' OS propriétaires indissociables, ...). C'est ainsi qu'en 2004, plus de 95% des serveurs fonctionnaient sous Linux, un taux proche de 100% aujourd'hui avec l'arrêt des derniers serveurs AIX d' IBM fin 2006, précise Michel Affre, responsable des Systèmes d' Information dédiés aux académies.
" Plus de 3000 serveurs de production - soit 80 à 120 serveurs par rectorat - tournent aujourd'hui sous Linux dont plus de 80% sous Red Hat Enterprise Linux. Tous nos applicatifs, depuis nos applications financières, jusqu'à nos outils de gestion des examens, en passant par la gestion du personnel, la gestion des élèves et les actes administratifs quotidiens fonctionnent sous Red Hat Enterprise Linux. Les fournisseurs d'applications, développeurs internes et prestataires externes, sont dans l'obligation par le biais des cahiers des charges ou de référentiels d'assurer la compatibilité avec Linux et principalement Red Hat Enterprise Linux dès le début de la phase de développement ou d'intégration ", déclare Michel Affre.
L' Open Source semble donc être dans les bonnes grâces de l' Etat français puisque un autre ministère, celui de l' Agriculture, a également entamé sa migration en portant son choix sur Mandriva en lieu et place de Windows NT (400 serveurs concernés) dans la lignée du ministère de la Culture qui l'a précédé en 2002, sans oublier les députés de l' Assemblée nationale auxquels sont proposés des postes informatiques dotés d'une distribution Ubuntu.