Ces classiques du domaine ont indubitablement un côté amusant - en tout cas aujourd'hui - du fait de leur aspect clinquant. À l'époque, on ne faisait pas dans l'infection discrète, ou du moins avec ces spécimens du genre qui affichent des messages et animations.
Une époque révolue de hackers loin de la cybercriminalité de maintenant avec ses multiples facettes. La séquence nostalgie est d'autant plus permise que les virus du musée peuvent être testés en toute quiétude. Toutes les routines destructrices ont été supprimées et l'action du sympathique malware peut être observée dans le navigateur Web via un émulateur hébergé (DOSBox).