Le format miCARD se place comme une solution évoluée du format MMC (et plus tard MMC Plus) dont MultiMediaCard Association est également à l'origine. Le MMC est pour ainsi dire mort enterré, la miCARD prend sa succession avec des arguments techniques de poids. Mais ce format arrivera t-il pour autant à se faire une place parmi la multitude de formats présents sur le marché ?
Spécifications techniques prometteuses
Le miCARD reprend de nombreuses caractéristiques de l’interface USB et pourra donc sans problème se passer d'un adaptateur spécifique pour se brancher à ce port. Côté performance, c'est plutôt flatteur. Son bus de 16 bits de large lui permet un taux de transfert maximal de 60 Mo/s. Bien mieux donc que le MMC Plus qui plafonnait à 52 Mo/s. Et si on ne prenait pas en compte la limitation des puces mémoires Flash NAND, ce taux de transfert pourrait monter à 120 Mo/s ! Légèrement plus volumineuse que la Secure Digital, la MiCARD pourra sans problème gérer une capacité mémoire de 2 Téraoctets. C'est énorme !
Avant une commercialisation annoncée dans le courant du troisième trimestre 2007, les promoteurs de la miCARD devront toutefois évaluer au plus juste les coûts. Ils veulent notamment éviter de payer les royalties versées pour leur fabrication et leur distribution comme c'est le cas pour les cartes Secure Digital.
Spécifications techniques prometteuses
Le miCARD reprend de nombreuses caractéristiques de l’interface USB et pourra donc sans problème se passer d'un adaptateur spécifique pour se brancher à ce port. Côté performance, c'est plutôt flatteur. Son bus de 16 bits de large lui permet un taux de transfert maximal de 60 Mo/s. Bien mieux donc que le MMC Plus qui plafonnait à 52 Mo/s. Et si on ne prenait pas en compte la limitation des puces mémoires Flash NAND, ce taux de transfert pourrait monter à 120 Mo/s ! Légèrement plus volumineuse que la Secure Digital, la MiCARD pourra sans problème gérer une capacité mémoire de 2 Téraoctets. C'est énorme !
Avant une commercialisation annoncée dans le courant du troisième trimestre 2007, les promoteurs de la miCARD devront toutefois évaluer au plus juste les coûts. Ils veulent notamment éviter de payer les royalties versées pour leur fabrication et leur distribution comme c'est le cas pour les cartes Secure Digital.
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