Microsoft AntiSpyware supprime Norton Antivirus... le considèrant comme étant un voleur de mots de passe !
La dernière mise à jour en date des définitions du Microsoft AntiSpyware, la " 5085, 5087 ", pause quelques soucis aux usagers du logiciel Norton Antivirus de Symantec. Il met ce dernier hors-service.
En effet, le logiciel Microsoft AntiSpyware, actuellement en version bêta, reconnaît Norton Antivirus comme un voleur de mots de passe nommé PWS.Bancos.A et supprime de nombreux fichiers utiles à celui-ci, le rendant finalement inutilisable.
Dès lors, il faut supprimer manuellement toutes traces du logiciel antivirus de Symantec. Comprenez par là qu'il faut supprimer les fichiers à la main et fouiller dans le registre de Windows pour y supprimer quelques clés. Une réinstallation complète du logiciel suffit à tout faire rentrer dans l'ordre.
Prévenu par l'intermédiaire de ses forums, Microsoft a indiqué que ce problème serait résolu dans une prochaine mise à jour.
Note : sachant que le logiciel n'est qu'en version bêta, il est forcement déconseillé de l'installer sur une machine à usage professionnel, ce jusqu'à ce que la version finale soit disponible.
En effet, le logiciel Microsoft AntiSpyware, actuellement en version bêta, reconnaît Norton Antivirus comme un voleur de mots de passe nommé PWS.Bancos.A et supprime de nombreux fichiers utiles à celui-ci, le rendant finalement inutilisable.
Dès lors, il faut supprimer manuellement toutes traces du logiciel antivirus de Symantec. Comprenez par là qu'il faut supprimer les fichiers à la main et fouiller dans le registre de Windows pour y supprimer quelques clés. Une réinstallation complète du logiciel suffit à tout faire rentrer dans l'ordre.
Prévenu par l'intermédiaire de ses forums, Microsoft a indiqué que ce problème serait résolu dans une prochaine mise à jour.
Note : sachant que le logiciel n'est qu'en version bêta, il est forcement déconseillé de l'installer sur une machine à usage professionnel, ce jusqu'à ce que la version finale soit disponible.
Source :
The Washington Post via The Inquirer