Depuis son procès antitrust de 2001 aux Etats-Unis, le développement des produits logiciels de la firme de Redmond a été placé sous la surveillance d'un comité technique dont l'activité de contrôle a été prolongée jusqu'en 2009. Internet Explorer 8 et Windows 7 seront donc épiés, et Microsoft devra veiller à ne pas retomber dans ses travers en pénalisant la concurrence, d'autant que ce comité paraît très vigilant.
A surveiller comme l'huile sur le feu
Selon une information révélée par InformationWeek, ce comité s'est en effet aperçu que Microsoft avait supprimé dans sa documentation technique qu'il se doit de fournir aux éditeurs tiers en vertu du principe d'interopérabilité, un certain nombre d'éléments relatifs à des protocoles. Ces mêmes éléments avaient pourtant été publiés dans les versions précédentes de ladite documentation.
Sans de plus amples précisions notamment quant au nombre de protocoles concernés, le comité s'est dit concerné par cette situation, et même s'il s'avère que la démarche de Microsoft ne prête pas à conséquence pour les éditeurs tiers, ce qui du reste semble être le cas, du moins était-il dans l'obligation d'en informer au préalable le comité afin d'obtenir son aval.
Le comité a par ailleurs formulé un autre reproche à l'égard de Microsoft au vu de la fréquence de publication des mises à jour de sa documentation technique. Cette publication est en effet devenue trimestrielle après avoir été mensuelle. Point sur lequel Microsoft a déclaré travailler.
A surveiller comme l'huile sur le feu
Selon une information révélée par InformationWeek, ce comité s'est en effet aperçu que Microsoft avait supprimé dans sa documentation technique qu'il se doit de fournir aux éditeurs tiers en vertu du principe d'interopérabilité, un certain nombre d'éléments relatifs à des protocoles. Ces mêmes éléments avaient pourtant été publiés dans les versions précédentes de ladite documentation.
Sans de plus amples précisions notamment quant au nombre de protocoles concernés, le comité s'est dit concerné par cette situation, et même s'il s'avère que la démarche de Microsoft ne prête pas à conséquence pour les éditeurs tiers, ce qui du reste semble être le cas, du moins était-il dans l'obligation d'en informer au préalable le comité afin d'obtenir son aval.
Le comité a par ailleurs formulé un autre reproche à l'égard de Microsoft au vu de la fréquence de publication des mises à jour de sa documentation technique. Cette publication est en effet devenue trimestrielle après avoir été mensuelle. Point sur lequel Microsoft a déclaré travailler.