Après l'échec du développement du projet Minimo, qui n'a pas dépassé le stade expérimental, Mozilla a repris les choses en main en fin d'année 2007 en relançant un projet Firefox Mobile. Cette fois, les moyens sont mis pour aboutir à une solution qui offrirait une qualité digne de son équivalent pour PC mais cette fois pour les produits mobiles.
Le succès de terminaux comme l' iPhone montre que le public n'attend que d'avoir le bon outil pour se lancer dans les joies de l'Internet mobile, générant de précieux revenus pour les opérateurs. Or, peu de navigateurs mobiles du marché répondraient correctement aux besoins.
" La mission de Mozilla est d'ouvrir un marché jusqu'à présent fermé ", explique Mike Schroepfer, chef ingénieur de Mozilla. " Mais cela ne va pas se faire en un jour ". Pas en un jour, peut-être, mais d'ici la fin de l'année, sûrement, avec une version pour Windows Mobile et une autre pour Linux.
Et déjà, les opérateurs veulent savoir à quoi s'attendre. Si Firefox Mobile sera fourni gratuitement, certains d'entre-eux craignent de ne pas en maîtriser toutes les composantes, notamment pour ceux qui gèrent étroitement ce qui se passe sur leur réseau.
Firefox Mobile, une promesse de renouveau ?
C'est donc un travail d'explication et de séduction dans lequel s'est engagé Christian Sejersen, chef du projet Firefox Mobile, pour rassurer les uns et les autres sur les retombées en terme de consommation data.
Car Mozilla souhaite les faire participer au développement du navigateur mobile, comme la communauté open source le fait pour Firefox, afin de faire avancer certains aspects. Cinq ingénieurs sont déployés à temps complet sur le projet dans le centre de développement de Copenhague et d'autres devraient suivre.
On espère également une mobilisation du côté des fabricants pour optimiser l'interface et assurer une bonne compatibilité avec les chipsets mobiles. Firefox Mobile reposera par exemple sur une architecture ARM11, tandis que Nokia a intégré un moteur Gecko pour le rendu des pages Web sur ses tablettes Internet sous Linux Nokia N800 et N810.
Cependant, il est plus que temps pour Mozilla de préparer un navigateur mobile. Plusieurs sociétés ont bien avancé sur ce domaine depuis deux ans, comme Nokia proposant un navigateur dérivé de Safari, Apple ayant développé Safari Mobile pour l' iPhone, Opera, dont les versions Opera Mobile et Opera Mini s'enrichissent mois après mois de nouvelles fonctionnalités, ou encore NetFront du japonais Access.
Le succès de terminaux comme l' iPhone montre que le public n'attend que d'avoir le bon outil pour se lancer dans les joies de l'Internet mobile, générant de précieux revenus pour les opérateurs. Or, peu de navigateurs mobiles du marché répondraient correctement aux besoins.
" La mission de Mozilla est d'ouvrir un marché jusqu'à présent fermé ", explique Mike Schroepfer, chef ingénieur de Mozilla. " Mais cela ne va pas se faire en un jour ". Pas en un jour, peut-être, mais d'ici la fin de l'année, sûrement, avec une version pour Windows Mobile et une autre pour Linux.
Et déjà, les opérateurs veulent savoir à quoi s'attendre. Si Firefox Mobile sera fourni gratuitement, certains d'entre-eux craignent de ne pas en maîtriser toutes les composantes, notamment pour ceux qui gèrent étroitement ce qui se passe sur leur réseau.
Firefox Mobile, une promesse de renouveau ?
C'est donc un travail d'explication et de séduction dans lequel s'est engagé Christian Sejersen, chef du projet Firefox Mobile, pour rassurer les uns et les autres sur les retombées en terme de consommation data.
Car Mozilla souhaite les faire participer au développement du navigateur mobile, comme la communauté open source le fait pour Firefox, afin de faire avancer certains aspects. Cinq ingénieurs sont déployés à temps complet sur le projet dans le centre de développement de Copenhague et d'autres devraient suivre.
On espère également une mobilisation du côté des fabricants pour optimiser l'interface et assurer une bonne compatibilité avec les chipsets mobiles. Firefox Mobile reposera par exemple sur une architecture ARM11, tandis que Nokia a intégré un moteur Gecko pour le rendu des pages Web sur ses tablettes Internet sous Linux Nokia N800 et N810.
Cependant, il est plus que temps pour Mozilla de préparer un navigateur mobile. Plusieurs sociétés ont bien avancé sur ce domaine depuis deux ans, comme Nokia proposant un navigateur dérivé de Safari, Apple ayant développé Safari Mobile pour l' iPhone, Opera, dont les versions Opera Mobile et Opera Mini s'enrichissent mois après mois de nouvelles fonctionnalités, ou encore NetFront du japonais Access.
Source :
InfoWorld