Si certains fabricants comme Corsair ou OCZ ont commencé à remplacer la mémoire flash 34 nanomètres utilisée dans les dispositifs de stockage SSD par de la mémoire 25 nanomètres, d’autres en revanche à l’image de Mushkin ont annoncé qu’il valait mieux attendre encore un peu, car la migration n’est pas bénéfique pour le consommateur final.
Preuve en est avec certains SSD OCZ qui, lors d’un changement de type de mémoire, avaient visiblement perdu en espace de stockage disponible, en longévité et en performances. Résultat des courses : des acquéreurs mécontents et un échange proposé.
La migration vers la mémoire flash 25 nanomètres n’est ainsi pas d’actualité pour tout le monde, certains constructeurs préférant visiblement laisser d'autres essuyer les plâtres et attendre le bon moment, c’est-à-dire quand les soucis évoqués plus haut seront résolus, pour switcher. Et cela, quitte à ne pas réduire les coûts de production, car c’était là le principal intérêt du passage à cette nouvelle mémoire.