
Il a néanmoins refusé de donner davantage de détails sur celui-ci, et si cet accord permettant à Google d'insérer ses publicités au sein des dizaines de millions de membres de MySpace lui était profitable. Le responsable exécutif du numéro un de la recherche Web a également refusé de commenter le partenariat renforcé entre Facebook et Microsoft, agrémenté d'un récent investissement du second dans le premier à hauteur de 240 millions de dollars. Désormais, la firme de Redmond détient 1,6 % du réseau communautaire.
Enfin, Schmidt a déclaré que Google n'avait pas l'intention de diviser le prix de son action qui s'établit aujourd'hui à plus de 675 dollars. Il a ajouté qu'il n'y avait eu aucune discussion quant à une telle décision pour l'avenir de la compagnie, renouvelant du même coup la position que la firme martèle depuis des années.