Jeudi dernier, NEC, grand groupe d'électronique d'origine nippone, a annoncé le lancement d'un nouveau supercalculateur. Baptisé SX-9, il est présenté comme le plus puissant au monde. En effet, le SX-9 atteint 839 Téraflops en puissance de crête, un Téraflop représentant pour rappel mille milliards d'opérations à virgule flottante par seconde. Ce record a été rendu possible grâce à l'utilisation d'unités de calcul capables d'atteindre 102 Gigaflops chacun.
Ce type de calculateur prenant en général énormément de place du fait des systèmes de refroidissement mis en place, NEC a également annoncé divers procédés permettant de réduire la surchauffe et d'optimiser la dissipation thermique. Cela se traduit par la réduction du système de refroidissement et par conséquent celle de la place occupée par le supercalculateur.
Il reste désormais à voir combien de temps il faudra à ses concurrents, parmi lesquels nous retrouvons Hitachi, Fujitsu ou IBM, pour s'aligner, voire détrôner, ce nouveau supercalculateur. Cette guerre aux flops, qui a débuté dans les années 70, profite en tout cas aux grandes entreprises et instituts de recherche qui peuvent ainsi traiter de plus en plus d'informations et fournir de meilleurs résultats dans les domaines où les volumes de données sont importants. L'aérospatiale, de la météorologie ou la sismologie par exemple.
Ce type de calculateur prenant en général énormément de place du fait des systèmes de refroidissement mis en place, NEC a également annoncé divers procédés permettant de réduire la surchauffe et d'optimiser la dissipation thermique. Cela se traduit par la réduction du système de refroidissement et par conséquent celle de la place occupée par le supercalculateur.
Il reste désormais à voir combien de temps il faudra à ses concurrents, parmi lesquels nous retrouvons Hitachi, Fujitsu ou IBM, pour s'aligner, voire détrôner, ce nouveau supercalculateur. Cette guerre aux flops, qui a débuté dans les années 70, profite en tout cas aux grandes entreprises et instituts de recherche qui peuvent ainsi traiter de plus en plus d'informations et fournir de meilleurs résultats dans les domaines où les volumes de données sont importants. L'aérospatiale, de la météorologie ou la sismologie par exemple.
Source :
AFP