C'est le cas d'une nouvelle affaire, qui aura trouvé son dénouement en septembre dernier. Nintendo demandait à ce que les stocks de Linker d'un commerçant ne soit plus commercialisé, et que ces derniers soient remis à un huissier.
Seulement voilà, il n'a pas été prouvé que les Linkers mis en question, à savoir les Dsi One Mini, R4i 3DS et DS Tti usant du logiciel ARM7, n'étaient, entre autre, destinés qu'au seul piratage. Le marchand s'en est plutôt bien sorti, en jouant notamment sur les différents rôles des linkers.
Nintendo n'a donc pas eu gain de cause dans cette affaire, dont vous pouvez retrouver l'intégralité (et les détails de la procédure) à cette adresse.