Nokia, groupe d'origine finlandaise spécialisé dans la conception de téléphones portables, se positionne en tant que numéro un mondial dans son domaine. Le positionnement aurait de quoi satisfaire Nokia s'il reflétait son positionnement dans chacun des pays où il est présent. Malheureusement, comme nous pouvons le constater en France et aux États-Unis, le fabricant ne parvient pas à s'imposer partout dans le monde du fait d'une concurrence féroce, notamment celle des Asiatiques comme Samsung et LG.
Afin d'être plus compétitif, Nokia doit par conséquent réduire ses coûts de production. Malheureusement pour elle, l'usine de Bochum, ville située à l'ouest de l'Allemagne, ne répond pas aux critères de compétitivité exigés par Nokia qui envisage par conséquent de la fermer. Moderniser le site aurait en effet nécessité des investissements supplémentaires, sans pour autant assurer la compétitivité sur le plan mondial qui est souhaitée par le groupe.
Veli Sundbäck, vice-président exécutif de Nokia et président du directoire de Nokia GmbH, filiale allemande du groupe, dont les propos ont été relayés par l'agence de presse AFP : " En raison de changements du marché et d'exigences croissantes en termes de coûts, la production de téléphones portables en Allemagne a cessé d'être pertinente pour Nokia. "
De son côté, une porte-parole de Nokia indiquait à l'agence de presse Reuters : " La principale raison, c'est tout simplement le fait que Bochum n'est pas compétitive. L'Allemagne est chère, les coûts de production et les coûts salariaux sont élevés et à long terme, nous ne pouvons pas continuer avec cette usine. "
D'ici la mi-2008, ce sont 2 300 salariés allemands se retrouveront au chômage. Les activités de cette usine seront transférées vers des sites plus compétitifs en Europe, en Roumanie principalement, les embauches ayant déjà commencé. Si les employés allemands accusent le coup, les actionnaires ont bien accueilli la nouvelle. Le titre Nokia a en effet progressé de 2,28 % pour terminer à 24,22 euros en fin de matinée.
Afin d'être plus compétitif, Nokia doit par conséquent réduire ses coûts de production. Malheureusement pour elle, l'usine de Bochum, ville située à l'ouest de l'Allemagne, ne répond pas aux critères de compétitivité exigés par Nokia qui envisage par conséquent de la fermer. Moderniser le site aurait en effet nécessité des investissements supplémentaires, sans pour autant assurer la compétitivité sur le plan mondial qui est souhaitée par le groupe.
Veli Sundbäck, vice-président exécutif de Nokia et président du directoire de Nokia GmbH, filiale allemande du groupe, dont les propos ont été relayés par l'agence de presse AFP : " En raison de changements du marché et d'exigences croissantes en termes de coûts, la production de téléphones portables en Allemagne a cessé d'être pertinente pour Nokia. "
De son côté, une porte-parole de Nokia indiquait à l'agence de presse Reuters : " La principale raison, c'est tout simplement le fait que Bochum n'est pas compétitive. L'Allemagne est chère, les coûts de production et les coûts salariaux sont élevés et à long terme, nous ne pouvons pas continuer avec cette usine. "
D'ici la mi-2008, ce sont 2 300 salariés allemands se retrouveront au chômage. Les activités de cette usine seront transférées vers des sites plus compétitifs en Europe, en Roumanie principalement, les embauches ayant déjà commencé. Si les employés allemands accusent le coup, les actionnaires ont bien accueilli la nouvelle. Le titre Nokia a en effet progressé de 2,28 % pour terminer à 24,22 euros en fin de matinée.