A la fin du mois d’octobre, nous vous annoncions que la firme nVidia s’avouait confiante au regard du rachat de son principal concurrent ATI (Array Technology Industry) par le fondeur AMD (Advanced Micro Device).
Nous évoquions alors l’intérêt que portait nVidia pour le secteur de l’électronique mobile, en particulier le marché des téléphones. Cet intérêt se confirme grandement aujourd’hui avec le rachat de la société PortalPlayer basée à San José.
Pour mémoire, il s’agit là de l’entreprise qui équipait à l’époque les processeurs des fameux iPod d’Apple, ceci avant que Samsung ne lui soit préféré, permettant entre autre de réduire de 20 % les coûts de production de la nouvelle génération d’iPod nano.
Sans aucun doute, cet évincement a sérieusement fragilisé la situation économique de la firme au smiley musical, même si celle-ci, un temps promise à une liquidation, avait finalement redressé la barre : il y a deux semaines de cela, le revenu net de l’exercice fiscal au troisième trimestre 2006 avoisinait les 1,5 million de dollars, soit 100 000 au-dessus des prévisions les plus optimistes. Malgré tout, le moment était visiblement opportun pour nVidia de racheter la société, dont la marge de manœuvre était nécessairement moindre qu’à l’époque où les iPod possédaient un cœur PortalPlayer.
Modalités et perspectives du rachat
Concrètement, cette acquisition est effectuée selon des termes bien précis : nVidia rachètera à hauteur de 13,5 dollars chacune des actions de PortalPlayer. Le bilan s’élève donc à environ 357 millions de dollars.
Cette acquisition constitue manifestement le plus gros volet de la nouvelle stratégie de développement de nVidia, pour beaucoup fondée sur le marché de la téléphonie mobile et plus généralement des appareils électroniques grand public possédant des fonctions audio et vidéos de plus en plus poussées.
Du reste, voilà qui jette un sérieux froid sur les rumeurs faisant état d’un rachat de nVidia par Intel. La firme de Santa Clara proposant déjà une architecture graphique, elle n’a manifestement pas besoin de nVidia comme AMD avait besoin d’ATI.
Nous évoquions alors l’intérêt que portait nVidia pour le secteur de l’électronique mobile, en particulier le marché des téléphones. Cet intérêt se confirme grandement aujourd’hui avec le rachat de la société PortalPlayer basée à San José.
Pour mémoire, il s’agit là de l’entreprise qui équipait à l’époque les processeurs des fameux iPod d’Apple, ceci avant que Samsung ne lui soit préféré, permettant entre autre de réduire de 20 % les coûts de production de la nouvelle génération d’iPod nano.
Sans aucun doute, cet évincement a sérieusement fragilisé la situation économique de la firme au smiley musical, même si celle-ci, un temps promise à une liquidation, avait finalement redressé la barre : il y a deux semaines de cela, le revenu net de l’exercice fiscal au troisième trimestre 2006 avoisinait les 1,5 million de dollars, soit 100 000 au-dessus des prévisions les plus optimistes. Malgré tout, le moment était visiblement opportun pour nVidia de racheter la société, dont la marge de manœuvre était nécessairement moindre qu’à l’époque où les iPod possédaient un cœur PortalPlayer.
Modalités et perspectives du rachat
Concrètement, cette acquisition est effectuée selon des termes bien précis : nVidia rachètera à hauteur de 13,5 dollars chacune des actions de PortalPlayer. Le bilan s’élève donc à environ 357 millions de dollars.
Cette acquisition constitue manifestement le plus gros volet de la nouvelle stratégie de développement de nVidia, pour beaucoup fondée sur le marché de la téléphonie mobile et plus généralement des appareils électroniques grand public possédant des fonctions audio et vidéos de plus en plus poussées.
Du reste, voilà qui jette un sérieux froid sur les rumeurs faisant état d’un rachat de nVidia par Intel. La firme de Santa Clara proposant déjà une architecture graphique, elle n’a manifestement pas besoin de nVidia comme AMD avait besoin d’ATI.