Fondée en 1994, Lancor affirme avoir mis en place un accord de distribution avec le plus important détaillant sur Internet Amazon.com, concernant la vente d'une gamme de claviers d'ordinateurs multilingues estampillés Konyin. Selon Lancor, l'OLPC aurait usé de techniques de reverse engineering pour s'inspirer illégalement de ses claviers capables d'accueillir des combinaisons de jeux de caractères de plusieurs langues.
L'OLPC reste stoïque
Les avocats de l'OLPC ne semblent cependant guère impressionnés par les revendications de Lancor qui n'apporterait pas de preuves recevables venant étayer ses dires, tout en précisant que Lancor n'a pas le monopole de la création de claviers multilingues.
Plus de détails sur cette affaire devraient être divulgués à partir du 15 janvier avec son retour sur le devant de la scène juridique nigériane. En attendant, l'OLPC se félicite du succès rencontré par son opération Give One get One avec plus de 150 000 portables XO vendus.