Souvenez-vous, à la fin du mois de novembre dernier, nous vous informions que Debitel, opérateur de téléphonie mobile virtuel allemand à bas prix s'appuyant sur le réseau mobile de SFR en France et comptabilisant plus de 10 millions d'abonnés à travers l'Europe, avait décidé de se séparer de ses quatre filiales étrangères situées au Danemark, en France, aux Pays-Bas et en Slovénie. La raison évoquée par Permira, le fond d'investissement britannique derrière cet opérateur, était le fait qu'il n'y avait aucune réelle perspective d'évolution sur ces quatre marchés. Pour information, depuis son lancement en février 2005, Debitel France n'a su conquérir que 160 000 abonnés. Une position, admettons-le, peu intéressante sur un tel marché.
Au mois de février dernier, trois prétendants au rachat de la filiale française s'étaient alors manifestés, à savoir Avenir Telecom, Coriolis et The Phone House. Un acteur de taille s'est récemment joint à eux.
SFR éventuellement intéressé
Contrairement à ce que nous pensions, même un acteur tel SFR, second opérateur de téléphonie mobile français, pourrait être intéressé par cette acquisition. L'opérateur l'a fait savoir jeudi dernier. Il se pourrait donc que Debitel France soit racheté par son propre fournisseur de réseau.
Un porte-parole de SFR déclarait à l'agence de presse AFP ( Agence France Presse ) : " Nous sommes candidats mais le dossier est encore en cours ". Affaire à suivre.
Au mois de février dernier, trois prétendants au rachat de la filiale française s'étaient alors manifestés, à savoir Avenir Telecom, Coriolis et The Phone House. Un acteur de taille s'est récemment joint à eux.
SFR éventuellement intéressé
Contrairement à ce que nous pensions, même un acteur tel SFR, second opérateur de téléphonie mobile français, pourrait être intéressé par cette acquisition. L'opérateur l'a fait savoir jeudi dernier. Il se pourrait donc que Debitel France soit racheté par son propre fournisseur de réseau.
Un porte-parole de SFR déclarait à l'agence de presse AFP ( Agence France Presse ) : " Nous sommes candidats mais le dossier est encore en cours ". Affaire à suivre.