Operation Flashpoint : Red River est toujours développé par un studio interne qui aura sur ses épaules une lourde responsabilité à honorer. Auto-proclamé simulation militaire, le dernier volet en date a pourtant déçu les fans et les joueurs les plus expérimentés la faute à des scripts trop stricts et des missions archi-linéaires.

En voulant jouer sur le front de la simulation et de l’accessibilité, la société britannique a fini par se casser les dents face à un Armed Assault 2 exigeant et complet à la fois. Mais malgré les erreurs commises l’année passée par le studio en charge, les responsables veulent poursuivre le conflit opposant les Etats-Unis à la Chine.

Il aura cette fois lieu au Tadjikistan, un pays au climat continental présentant d’énormes variations saisonnières et thermiques. Le jeu sera toujours équipé du Ego Engine, un moteur clairement inadapté aux conflits de grande envergure. Son gênant flou pénalise grandement les joueurs au même titre que l’IA capable autrefois de voir à travers la broussaille, une IA qui on l’espère sera améliorée.