Selon le journal Nikkei, ce sera la première fois que ces grandes entreprises se rejoignent pour commercialiser des produits munis de logiciels libres dans le pays. Emmenées par le groupe Oracle, ces différentes firmes vont donc promouvoir l'utilisation de Linux et ce dès le mois de juin prochain.
Linux, une alternative à Windows
Pour rappel, les systèmes d'exploitation basés sur le noyau Linux représentent une alternative à Windows, OS ( Operating System ) développé par la société Microsoft. Au total, ce sont donc plus de 10 entreprises, incluant les groupes majeurs du secteur, qui s'allie pour contrer l'hégémonie de la firme de Redmond. Parmi elles, l'on retrouve Hitachi, Dell, ou bien encore Hewlett-Packard.
Le gouvernement japonais a en outre récemment opté pour la promotion de l'open source dans l'administration nipponne, une migration qui sera mise en application dès juillet prochain. Ce sont 7,64 milliards d'euros qui vont être dépensés pour les systèmes informatiques dans le budget japonais de 2007, soit 15 % du montant total alloué au secteur informatique et technologique japonais.
Aujourd'hui, 78 % des serveurs japonais tournent sous Windows, contre 14 % pour Linux, a enfin précisé le Nikkei. Mais le gouvernement a indiqué qu'une confiance excessive dans le système d'exploitation Microsoft Windows résultera en moins de libertés dans le développement des systèmes ainsi qu'en d'autres effets secondaires car le code source de Windows n'est pas révélé.
Linux, une alternative à Windows
Pour rappel, les systèmes d'exploitation basés sur le noyau Linux représentent une alternative à Windows, OS ( Operating System ) développé par la société Microsoft. Au total, ce sont donc plus de 10 entreprises, incluant les groupes majeurs du secteur, qui s'allie pour contrer l'hégémonie de la firme de Redmond. Parmi elles, l'on retrouve Hitachi, Dell, ou bien encore Hewlett-Packard.
Le gouvernement japonais a en outre récemment opté pour la promotion de l'open source dans l'administration nipponne, une migration qui sera mise en application dès juillet prochain. Ce sont 7,64 milliards d'euros qui vont être dépensés pour les systèmes informatiques dans le budget japonais de 2007, soit 15 % du montant total alloué au secteur informatique et technologique japonais.
Aujourd'hui, 78 % des serveurs japonais tournent sous Windows, contre 14 % pour Linux, a enfin précisé le Nikkei. Mais le gouvernement a indiqué qu'une confiance excessive dans le système d'exploitation Microsoft Windows résultera en moins de libertés dans le développement des systèmes ainsi qu'en d'autres effets secondaires car le code source de Windows n'est pas révélé.