
Gregory Kopiloff devra donc répondre devant la cour de Washington à de nombreuses accusations de vol depuis 2005. L’homme ciblait en premier lieu les utilisateurs dont les données personnelles avaient été fragilisées de manière accidentelle ou involontaire.
La facilité avec laquelle l’individu s’est introduit dans les ordinateurs de ses victimes s’expliquerait par une simple case souvent laissée vacante dans les logiciels de P2P qui autorise le partage complet de ses informations personnelles sur le réseau. Grégory Kopiloff ne serait apparemment pas le seul à connaître cette « combine » puisque Tiversa, la compagnie de recensement indique que plusieurs internautes auraient eu l’intention de profiter également de cette faille. En effet, 13 jours d’analyse ont révélé que les mots « credit card » avaient été recherchés 55 000 fois et que 70 000 recherches ont également été menées pour des noms de compagnies de cartes de crédit.