
Selon un communiqué publié lundi par le Software Freedom Law Center, groupe qui a emmené cette affaire devant les tribunaux pour représenter les deux développeurs, le produit incriminé s'appelle BusyBox ( un ensemble d'outils qui permet aux logiciels d'opérer dans des environnements restreints en ressources ).
Ce dernier, paru sous la licence GNU GPL, requiert que le vendeur utilisant cette application dans sa gamme rende le code source disponible, ce que Xterasys n'avait pas voulu faire.
Dans leur plainte, Andersen et Landley clamaient que la firme avait utilisé BusyBox dans ses produits, mais n'avaient jamais publié de codes sources. Le règlement de cette affaire demeure relativement significatif car beaucoup d'utilisateurs professionnels de logiciels libres hésitent à redistribuer les codes sources de leurs applications pour des raisons de sécurité ou de gestion de leurs propriétés intellectuelles.