Les coups de cœur ne préviennent pas. Ils vous prennent aux tripes sans trop savoir pourquoi, et dès lors, vous savez que ce que vous venez de vivre restera gravé en vous à tout jamais. C'est ce qui est probablement arrivé à Peter Molyneux, la tête pensante de Lionhead Studios. Final Fantasy VII est un jeu qui aura fait naître en lui beaucoup de frissons, comme bon nombre d'entre nous, sûrement.
"Je me souviens souvent de Final Fantasy VII, du moment où j'y ai joué pour la première fois, c'est le titre qui à mon sens a défini le genre. C'étaient les moments 'oh my god !', je n'en revenais pas. Mais je n'en ai pas ressenti beaucoup sur Playstation 3."
Lé débat est lancé. A l'heure où, il ne faut pas se le cacher, chacun mise beaucoup sur l'aspect graphique de son titre (la Xbox 360 et la PS3 sont évidemment les machines visées), on peut se demander si quelque chose n'a pas été perdu en route... La magie, cette magie qui nous fait oublier où nous sommes, la manette que nous tenons entre les mains, que l'aventure à laquelle nous prenons part n'est qu'une succession de 1 et de 0... Peter Molyneux n'est sans doute pas le seul à avoir cette pensée.
Pas d'aversion envers la PS3
Il est inutile de taxer Molyneux d'anti-PS3, ou même d'anti-Sony, même si distribuer des étiquettes est devenue chose facile de nos jours. Son point de vue est résolument celui d'un joueur :
"Je parle en tant que joueur, pas en tant que porte-parole de l'industrie. J'ai une PS3, une Wii, et une Xbox 360, j'ai à peu près tout."
Les éditeurs ont-ils seulement le temps pour cela ? La pari est risqué de miser l'intérêt de son soft sur un sentiment bien difficile à décrire, cette "magie" évoquée plus haut. Car cela n'assure pas forcément une assurance du côté des ventes. Mais les joueurs sauront se montrer reconnaissants si on pense avant tout à leur proposer des expériences uniques. D'ailleurs, parmi vous, s'en trouvent peut-être qui ont récemment connu de grands coups de coeur vidéoludiques semblables à ce qu'a connu Peter Molyneux avec Final Fantasy VII. Tout est une question de goûts, finalement.
"Je me souviens souvent de Final Fantasy VII, du moment où j'y ai joué pour la première fois, c'est le titre qui à mon sens a défini le genre. C'étaient les moments 'oh my god !', je n'en revenais pas. Mais je n'en ai pas ressenti beaucoup sur Playstation 3."
Lé débat est lancé. A l'heure où, il ne faut pas se le cacher, chacun mise beaucoup sur l'aspect graphique de son titre (la Xbox 360 et la PS3 sont évidemment les machines visées), on peut se demander si quelque chose n'a pas été perdu en route... La magie, cette magie qui nous fait oublier où nous sommes, la manette que nous tenons entre les mains, que l'aventure à laquelle nous prenons part n'est qu'une succession de 1 et de 0... Peter Molyneux n'est sans doute pas le seul à avoir cette pensée.
Pas d'aversion envers la PS3
Il est inutile de taxer Molyneux d'anti-PS3, ou même d'anti-Sony, même si distribuer des étiquettes est devenue chose facile de nos jours. Son point de vue est résolument celui d'un joueur :
"Je parle en tant que joueur, pas en tant que porte-parole de l'industrie. J'ai une PS3, une Wii, et une Xbox 360, j'ai à peu près tout."
Les éditeurs ont-ils seulement le temps pour cela ? La pari est risqué de miser l'intérêt de son soft sur un sentiment bien difficile à décrire, cette "magie" évoquée plus haut. Car cela n'assure pas forcément une assurance du côté des ventes. Mais les joueurs sauront se montrer reconnaissants si on pense avant tout à leur proposer des expériences uniques. D'ailleurs, parmi vous, s'en trouvent peut-être qui ont récemment connu de grands coups de coeur vidéoludiques semblables à ce qu'a connu Peter Molyneux avec Final Fantasy VII. Tout est une question de goûts, finalement.
Source :
Videogamer