En effet, Laurent Benadiba (qui a travaillé sur un titre PSP qui n'aura jamais vu le jour) sent du potentiel en la PSP, mais pas un soutien suffisant de Sony pour sa console :
"J'ai travaillé pendant deux ans sur la PSP, comme l'un des seuls développeurs du moment, et j'ai vraiment cru en cette plate-forme à l'époque. Je continue de croire qu'il y a encore du potentiel, mais c'est comme la confiance en soi - si tu crois en toi, alors les autres pourront être amenés à croire en toi. Si tu ne crois pas en toi, personne ne te fera confiance."
Sony les bras ballants ?
Laurent reproche à Sony de n'avoir fait que peu d'efforts pour étoffer la ludothèque de la PSP, en s'étant juste contenté de sortir la machine :
"Sony a sorti le produit, mais ils ne se sont jamais donnés la peine de la pousser. Des jeux, des annonces, une meilleure disposition - essayer de faire un effort."
Il poursuit en mettant en avant le fait que la PSP soit facile à pirater. Le succès de la Playstation première du nom est venu en partie de sa capacité à être piratée, et ça n'a jamais vraiment tant porté préjudice que ça à la console. Et, au Japon du moins, la PSP se bat vaillamment contre la DS, et est pour l'instant loin d'être larguée. La vérité est ailleurs ?