La publicité in-game fait polémique auprès des nombreux joueurs, critiquant systématiquement ce procédé qui a tendance à dénaturer les jeux concernés. De nombreuses firmes telles que THQ ou encore Electronic Arts se sont déjà associées avec des compagnies publicitaires afin d'en inclure dans leurs titres phares.
Le site Gamesindustry s'est entretenu avec Yuanzhe Cai, directeur de Broadband & Gaming chez Packs Associates. Ce dernier avait précédemment estimé que la publicité in-game excéderait 2 milliards de dollars d'ici 2012.
Un marché juteux
L'analyste a directement affirmé que cette méthode est un procédé à "double tranchant". Il ajouta que "si les campagnes publicitaires se sont bien déroulées, il n'y aura pas beaucoup de résistance des plus gros joueurs. Si les campagnes sont intrusives et causent une foule d'interférences... ces joueurs s'assureront que les éditeurs et les annonceurs goûtent l'amertume de leur expérience". Il indiqua ensuite les diverses plaintes aperçues sur les blogs et autres forums de la toile.
Y.Cai a ensuite affirmé que cette forme de publicité n'aurait pas d'intérêt sur des Casual Games, à savoir des jeux occasionnels destinés avant tout au grand public, comme on en voit sur DS et sur Wii. Il ajouta que "si vous fournissez un jeu gratuitement, ou subventionné par un annonceur, les consommateurs s'inquiètent moins sur les publicités. Si vous les facturez et que vous insérez beaucoup de publicités intrusives, cela ne va pas fonctionner".
Les éditeurs de jeux vidéo augmentent fortement leurs revenus grâce à cette forme de publicité. EA avait d'ailleurs estimé l'année passée que la série Need For Speed allait apporter 4 millions de dollars de revenus publicitaires. Y.Cai compte continuer son enquête de satisfaction auprès des consommateurs jusqu'à la fin de cette année.
Le site Gamesindustry s'est entretenu avec Yuanzhe Cai, directeur de Broadband & Gaming chez Packs Associates. Ce dernier avait précédemment estimé que la publicité in-game excéderait 2 milliards de dollars d'ici 2012.
Un marché juteux
L'analyste a directement affirmé que cette méthode est un procédé à "double tranchant". Il ajouta que "si les campagnes publicitaires se sont bien déroulées, il n'y aura pas beaucoup de résistance des plus gros joueurs. Si les campagnes sont intrusives et causent une foule d'interférences... ces joueurs s'assureront que les éditeurs et les annonceurs goûtent l'amertume de leur expérience". Il indiqua ensuite les diverses plaintes aperçues sur les blogs et autres forums de la toile.
Y.Cai a ensuite affirmé que cette forme de publicité n'aurait pas d'intérêt sur des Casual Games, à savoir des jeux occasionnels destinés avant tout au grand public, comme on en voit sur DS et sur Wii. Il ajouta que "si vous fournissez un jeu gratuitement, ou subventionné par un annonceur, les consommateurs s'inquiètent moins sur les publicités. Si vous les facturez et que vous insérez beaucoup de publicités intrusives, cela ne va pas fonctionner".
Les éditeurs de jeux vidéo augmentent fortement leurs revenus grâce à cette forme de publicité. EA avait d'ailleurs estimé l'année passée que la série Need For Speed allait apporter 4 millions de dollars de revenus publicitaires. Y.Cai compte continuer son enquête de satisfaction auprès des consommateurs jusqu'à la fin de cette année.
Source :
Gamesindustry