" Au bout d'un moment, j'ai dit aux investisseurs, qu'en effet il y avait des conflits en cours. Et, oui, ces conflits sont arrivés fréquemment. C'est la manière dont Red Hat règle les questions techniques... ", a t-il écrit, précisant qu'IBM, Dell et Hewlett-Packard, trois géants de l'informatique, étaient devenus des investisseurs grâce " au fighting spirit de Red Hat ". Whitehurst est un ancien vice-président et directeur du Boston Consulting Group, diplômé, entre autres, de l'Université Rice de Houston. Il a déclaré " accueillir volontiers " le fait de diriger Red Hat.
Pour le troisième trimestre, l'éditeur a par ailleurs livré de bons résultats financiers. Les revenus générés entre début septembre et fin novembre ont été 28 % supérieurs à ceux de 2006, atteignant 135,4 millions de dollars. Le bénéfice net de ce trimestre s'est établi à 20,3 millions de dollars, soit 10 cents par action, ce qui est également mieux que les 18,2 millions du troisième trimestre de l'année dernière.