Parmi les faits qui ont marqué l'actualité de la semaine précédente, on rappellera bien entendu le lancement du nouvel OS de Microsoft, le dénommé Windows 7, et la validation du projet HADOPI 2 par le Conseil constitutionnel. Mais on peut aussi évoquer deux actualités au sujet de Google. Une première concerne l'accusation de piratage en Chine, à cause de son service Google Books, tandis que l'autre tourne autour du lancement prochain d'une plate-forme de musique en ligne. Sans oublier, pour terminer, de toucher un mot sur un accord européen pour la musique en ligne.

Sur ce, bonne lecture et bon début de semaine sur GNT.


Un accord européen pour la musique en ligne : à l'issue d'une table ronde organisée par Bruxelles, les distributeurs ont pris l'engagement d'œuvrer à une meilleure diffusion de l'offre de musique en ligne pour l'ensemble de l'Europe. Ils ont notamment promis d'adhérer aux nouvelles plates-formes de licences de l'UE comprenant les répertoires de plusieurs sociétés de gestion collective et donné leur aval pour que ces sociétés permettent à d'autres entités de délivrer des licences multi-territoriales.


Google accusé de piratage en Chine : la Chine a aussi son mot à dire sur le service Google Books et d'accuser la firme californienne de s'être assise sur les droits de ses auteurs, dont certains dirigeants politiques. On évoque 18 000 ouvrages numérisés en toute illégalité.


La sortie de Windows 7 : comme prévu, le nouveau système d'exploitation Windows 7 - à prononcer Windows Sept comme tient à le rappeler Microsoft France - est disponible à la vente depuis le 22 octobre dernier. On peut désormais se le procurer sur le site de Microsoft, auprès des revendeurs ou lors de l'achat d'une nouvelle machine.


Google prépare une plate-forme de musique en ligne : en partenariat avec les quatre majors du disque, à savoir EMI Music, Sony Music, Universal Music et Warner Music, la firme californienne semble bel et bien partie pour lancer un service dédié à la recherche et l'achat de musique numérique.


Le Conseil constitutionnel dit oui à HADOPI 2 : les opposants au projet de loi HADOPI 2 espéraient beaucoup du recours devant le Conseil constitutionnel, mais les Sages ont finalement validé le projet dans sa quasi intégralité, ouvrant la voie au juge unique et à l'ordonnance pénale pour sanctionner les actes de téléchargement illégal, y compris pour négligence caractérisée. La sanction de la suspension de l'accès à Internet, prononcée par l'autorité judiciaire, a également été reconnue constitutionnelle.