Au rang des principaux mauvais élèves qui portent atteinte à la liberté d'expression sur la Toile, la Birmanie, la Syrie et bien-sûr la Chine qui déploie des moyens financiers et techniques colossaux pour garder la main mise sur l'Internet prenant dès lors plus les traits d'un intranet.
Bien évidemment, tous les pays n'ont pas le poids de la Chine qui a même réussi à passer un accord avec Skype* pour le blocage de certains mots clés. A défaut d'obtenir une oreille attentive auprès des grandes sociétés de l'Internet, beaucoup s'inspirent du modèle prôné par l'Empire du Milieu en mettant en place une véritable cyberpolice.
La Corée du Nord ou le Turkménistan ont opté pour une solution plus radicale en rendant l'accès au réseau presque impossible, si ce n'est pour quelques personnes triées sur le volet.
* Le système Skype présente l'avantage d'être crypté.