Si cet assaut est presque passé inaperçu avec peu d'incidences au niveau du Web, le réseau informatique Inter Network a dû faire face mardi à l'une des plus sérieuses attaques pirates menée à son encontre depuis 2002.
Comme l'explique la société Sophos spécialisée dans la sécurité informatique, les 13 serveurs DNS (Domain Name System) racines qui constituent en quelque sorte la colonne vertébrale d' Internet et à qui il incombe la tâche de gérer le système mondial des noms de domaine d' Internet via la conversion des noms de sites Web en adresses IP, ont été la cible d'une attaque de grande ampleur qui a notamment touché trois serveurs situés au sommet de la hiérarchie du DNS sans que pour autant leur fonctionnement n'ait été complètement altéré.
De la responsabilité de l'interface chaise / clavier
Selon toute vraisemblance, pour Sophos, cette attaque aux motifs obscurs, a pu être menée via le recours à des réseaux d'ordinateurs infectés par des pirates et placés sous leur contrôle, autrement dit des réseaux zombies (150 millions de machines zombies dans le monde) qui ont littéralement bombardé de requêtes les serveurs DNS d' Internet en vue de les saturer (attaque de déni de service).
L'éditeur britannique en vient donc à poser la question de savoir combien d'ordinateurs ont involontairement joué un rôle dans cette tentative de mise à bas du réseau Internet. Pour Michel Lanaspèze, Directeur Marketing et Communication de Sophos France et Europe du Sud : " Ces réseaux d'ordinateurs zombies auraient fort bien pu mettre le Web à genoux. Il faut sans doute renforcer la résistance des serveurs racines, mais il est plus important encore de s'attaquer à l'autre aspect du problème : le manque de sérieux de certains utilisateurs vis-à-vis de la sécurité informatique. La société s'appuie aujourd'hui de plus en plus sur Internet pour ses échanges quotidiens. Il est d'ailleurs ironique de penser que les ordinateurs qui ont secrètement tenté de mettre à bas le Web appartiennent peut-être à ceux-là mêmes qui en dépendent le plus. "
Sophos recommande ainsi aux particuliers (et pas uniquement aux entreprises) de vérifier que leur solution en matière de sécurité informatique est parfaitement à jour.
Comme l'explique la société Sophos spécialisée dans la sécurité informatique, les 13 serveurs DNS (Domain Name System) racines qui constituent en quelque sorte la colonne vertébrale d' Internet et à qui il incombe la tâche de gérer le système mondial des noms de domaine d' Internet via la conversion des noms de sites Web en adresses IP, ont été la cible d'une attaque de grande ampleur qui a notamment touché trois serveurs situés au sommet de la hiérarchie du DNS sans que pour autant leur fonctionnement n'ait été complètement altéré.
De la responsabilité de l'interface chaise / clavier
Selon toute vraisemblance, pour Sophos, cette attaque aux motifs obscurs, a pu être menée via le recours à des réseaux d'ordinateurs infectés par des pirates et placés sous leur contrôle, autrement dit des réseaux zombies (150 millions de machines zombies dans le monde) qui ont littéralement bombardé de requêtes les serveurs DNS d' Internet en vue de les saturer (attaque de déni de service).
L'éditeur britannique en vient donc à poser la question de savoir combien d'ordinateurs ont involontairement joué un rôle dans cette tentative de mise à bas du réseau Internet. Pour Michel Lanaspèze, Directeur Marketing et Communication de Sophos France et Europe du Sud : " Ces réseaux d'ordinateurs zombies auraient fort bien pu mettre le Web à genoux. Il faut sans doute renforcer la résistance des serveurs racines, mais il est plus important encore de s'attaquer à l'autre aspect du problème : le manque de sérieux de certains utilisateurs vis-à-vis de la sécurité informatique. La société s'appuie aujourd'hui de plus en plus sur Internet pour ses échanges quotidiens. Il est d'ailleurs ironique de penser que les ordinateurs qui ont secrètement tenté de mettre à bas le Web appartiennent peut-être à ceux-là mêmes qui en dépendent le plus. "
Sophos recommande ainsi aux particuliers (et pas uniquement aux entreprises) de vérifier que leur solution en matière de sécurité informatique est parfaitement à jour.