
La pression s’accentue
" Une telle taxe irait à l’encontre du développement de l’économie numérique qui est pourtant un réservoir d’innovation, de croissance et d’emplois pour la France de demain ". Au même titre que l’Asic, Renaissance Numérique est particulièrement étonné de l’élargissement de cette taxe prôné par la Fédération Française des Télécommunications : " Beaucoup de sites Internet vivent exclusivement de la publicité. La taille de cette économie est faible. (…) Si pour un opérateur télécom, le chiffre d’affaires de ses portails Internet représente environ 1 % de ses recettes, les autres acteurs tirent souvent 100 % de leur recette de la publicité sur Internet. "
Finalement Renaissance Numérique pose LA question : " Au nom de quel principe, un média en financerait-il un autre ? "