En remettant la licence entre les mains de Digital Extremes, 2K Games a pris un grand risque, celui de faire fuir les fans de la première heure. Le premier épisode développé par Starbreeze Studios (Les Chroniques de Riddick) présentait un style graphique proche de la réalité, un style permettant au joueur de s’immerger rapidement dans l’univers.

Cette suite possède des graphismes proches d’un Borderlands, une décision artistique osée. Car il faudra non seulement séduire les fans mais aussi le grand public. La tâche s’avère difficile pour le studio qui devra inévitablement se démarquer du titre de Gearbox Software. La présence des deux bras démoniaques de Jackie Estacado ne suffira pas.

Il devra veiller à réintroduire des quêtes secondaires et modéliser des environnements ouverts. Tous deux ont permis au jeu originel de s’en sortir haut la main et de récolter d’innombrables louanges.  Instaurer une linéarité scénaristique et conceptuelle, c’est nuire inévitablement à l’esprit de la licence.

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