Société basée à Atlanta, SecureWorks fournit des solutions Security as a Service aux entreprises cherchant à protéger leur réseau informatique contre toute activité relevant du cyber-crime. SecureWorks compte plus de 2 000 clients à travers le monde qui depuis le début de l'année, entre janvier et septembre 2008, ont fait l'objet de millions de cyber-attaques.
Pour immense majorité, ces cyber-attaques n'ont pas été " made in China " mais " made in USA ", soit 20,6 millions originaires de machines établies au pays de l'Oncle Sam. L'Empire du Milieu se classe second avec 7,7 millions d'attaques. Le Brésil complète le podium avec 166 967 attaques, tandis que la Russie est plus loin avec 130 572 attaques, mais des pays comme la Corée du Sud, la Pologne, le Japon, l'Allemagne ou le Canada dépassent également la centaine de milliers d'attaques.
Se confinant aux clients de SecureWorks, on peut estimer cette étude assez limitée, mais pour la société elle montre clairement que les Etats-Unis et la Chine hébergent un nombre important de machines compromises venues remplir les rangs zombies d'un botnet.
Pour l'un des responsables de SecureWorks, ces résultats démontrent aussi l'inefficacité du simple blocage des communications entrantes d'IP étrangères en tant que moyen de protection contre les cyber-attaques : " Le cyber-conflit entre la Russie et la Georgie en est le parfait exemple. Beaucoup de responsables IT georgiens ont estimé qu'en bloquant les adresses IP russes, ils protégeraient leurs réseaux, cependant, un grand nombre d'attaques russes ont été lancées depuis des adresses IP en Turquie et aux Etats-Unis; de fait, ils ont été durement touchés. Nous avons constaté que les cyber-criminels russes ont utilisé des ordinateurs compromis à l'extérieur de leurs propres frontières ".
Pour immense majorité, ces cyber-attaques n'ont pas été " made in China " mais " made in USA ", soit 20,6 millions originaires de machines établies au pays de l'Oncle Sam. L'Empire du Milieu se classe second avec 7,7 millions d'attaques. Le Brésil complète le podium avec 166 967 attaques, tandis que la Russie est plus loin avec 130 572 attaques, mais des pays comme la Corée du Sud, la Pologne, le Japon, l'Allemagne ou le Canada dépassent également la centaine de milliers d'attaques.
Se confinant aux clients de SecureWorks, on peut estimer cette étude assez limitée, mais pour la société elle montre clairement que les Etats-Unis et la Chine hébergent un nombre important de machines compromises venues remplir les rangs zombies d'un botnet.
Pour l'un des responsables de SecureWorks, ces résultats démontrent aussi l'inefficacité du simple blocage des communications entrantes d'IP étrangères en tant que moyen de protection contre les cyber-attaques : " Le cyber-conflit entre la Russie et la Georgie en est le parfait exemple. Beaucoup de responsables IT georgiens ont estimé qu'en bloquant les adresses IP russes, ils protégeraient leurs réseaux, cependant, un grand nombre d'attaques russes ont été lancées depuis des adresses IP en Turquie et aux Etats-Unis; de fait, ils ont été durement touchés. Nous avons constaté que les cyber-criminels russes ont utilisé des ordinateurs compromis à l'extérieur de leurs propres frontières ".