Comme le New Jersey, le gouverneur Christine Gregoire de l'Etat de Washington met en place le cadre d'une loi interdisant aux conducteurs d'envoyer des messages texte par téléphone tout en conduisant, en attendant une interdiction complète d'utiliser un mobile au volant.
Avec 158 milliards de SMS envoyés à travers les Etats-Unis en 2005, en hausse de 95% par rapport à l'année dernière (mais sans indication du nombre de messages envoyés tout en conduisant), les législateurs veulent prendre les devants face au danger représenté par des personnes ayant des activités multiples à bord de leur véhicule.
Difficile à appliquer
Plusieurs cas d'accidents liés à l'utilisation d'appareils mobiles ont accéléré la décision de légiférer sur ce point, qui soulève cependant quelques objections, notamment au niveau de son application. L'infraction ne peut être appliquée que comme circonstance aggravante par rapport à une faute plus grave.
Face au succès de ce mode de communication, il sera difficile aux conducteurs de perdre leur habitude de faire plusieurs choses tout en conduisant dans un pays où les véhicules avec boîte de transmission automatique sont rois et la circulation déjà sévèrement réglementée.
En France, l'Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière indique dans sa dernière étude que 7 à 8% des accidents sont liés à l'utilisation d'un téléphone portable (sans distinction de celle-ci). Si son emploi tout en conduisant est répréhensible, la question de l'interdiction des kits mains libres se pose également, les études montrant que son utilisation ne diminue pas sensiblement le risque d'accident. La raison est à chercher dans le fait qu'un conversation mobilise une grande partie de la capacité de concentration du conducteur.
Avec 158 milliards de SMS envoyés à travers les Etats-Unis en 2005, en hausse de 95% par rapport à l'année dernière (mais sans indication du nombre de messages envoyés tout en conduisant), les législateurs veulent prendre les devants face au danger représenté par des personnes ayant des activités multiples à bord de leur véhicule.
Difficile à appliquer
Plusieurs cas d'accidents liés à l'utilisation d'appareils mobiles ont accéléré la décision de légiférer sur ce point, qui soulève cependant quelques objections, notamment au niveau de son application. L'infraction ne peut être appliquée que comme circonstance aggravante par rapport à une faute plus grave.
Face au succès de ce mode de communication, il sera difficile aux conducteurs de perdre leur habitude de faire plusieurs choses tout en conduisant dans un pays où les véhicules avec boîte de transmission automatique sont rois et la circulation déjà sévèrement réglementée.
En France, l'Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière indique dans sa dernière étude que 7 à 8% des accidents sont liés à l'utilisation d'un téléphone portable (sans distinction de celle-ci). Si son emploi tout en conduisant est répréhensible, la question de l'interdiction des kits mains libres se pose également, les études montrant que son utilisation ne diminue pas sensiblement le risque d'accident. La raison est à chercher dans le fait qu'un conversation mobilise une grande partie de la capacité de concentration du conducteur.