Les experts ont de quoi être inquiets. En effet, depuis le 17 janvier 2007, le ver Storm a déjà infecté entre 250 000 et un million de PC. Celui-ci se transmet par courriel et transforme les ordinateurs infectés en PC zombies qui deviennent alors membre d’un botnet.
Ce réseau, contrôlé à distance par un pirate, peut émettre des spams ou bien décider de contaminer d’autres ordinateurs. Mais ce que craignent le plus les experts de la sécurité informatique serait une attaque DoS ( Denial of Service ) comme nous avions pu en voir avec le ver Blaster sur le site de WindowsUpdate.com de Microsoft ou bien celle de MyDoom sur les moteurs de recherche en 2004.
Malgré les mises en garde contre les fichiers attachés à l’allure douteuse, le nombre de PC infectés ne cesse de croître. Les utilisateurs n’ont semble t-il pas encore intégré certaines notions de sécurité et au vue des millions de PC d'ores et déjà contaminés et la vitesse à laquelle ce ver se répand, le pire serait à venir selon Joe Stewart, chercheur senior en sécurité informatique à la compagnie SecureWork. Car le créateur de ce virus serait aujourd’hui à la tête d’une armée impressionnante d’ordinateurs et pourrait décider contre une somme coquette de « louer » son réseau à des fins malveillantes.
Ce réseau, contrôlé à distance par un pirate, peut émettre des spams ou bien décider de contaminer d’autres ordinateurs. Mais ce que craignent le plus les experts de la sécurité informatique serait une attaque DoS ( Denial of Service ) comme nous avions pu en voir avec le ver Blaster sur le site de WindowsUpdate.com de Microsoft ou bien celle de MyDoom sur les moteurs de recherche en 2004.
Malgré les mises en garde contre les fichiers attachés à l’allure douteuse, le nombre de PC infectés ne cesse de croître. Les utilisateurs n’ont semble t-il pas encore intégré certaines notions de sécurité et au vue des millions de PC d'ores et déjà contaminés et la vitesse à laquelle ce ver se répand, le pire serait à venir selon Joe Stewart, chercheur senior en sécurité informatique à la compagnie SecureWork. Car le créateur de ce virus serait aujourd’hui à la tête d’une armée impressionnante d’ordinateurs et pourrait décider contre une somme coquette de « louer » son réseau à des fins malveillantes.