
Comme l'avait indiqué le directeur des relations publiques de Nintendo America, Charlie Scibetta, la firme nipponne intente une procédure d'appel afin de réduire la somme due de manière « significative ». Seulement, le juge Ron Clark vient de refuser l'opération, donnant raison à la décision du 14 mai dernier.
Plus d'un tour dans le sac

Le jury avait estimé que les avocats d'Anascape avaient présenté suffisamment d'évidences pour juger que Nintendo avait violé les brevets de la société en produisant ses manettes de jeu. Dans un rapport paru vendredi dernier, les avocats de la société texane ont salué la décision établie par la Cour : « Nous apprécions la pleine considération de la Cour en respectant la décision du jury. Bien que n'étant pas une société aussi grande que Nintendo, Anascape a parfaitement le droit de protéger sa technologie ».
Il est également utile de préciser qu'Anascape avait effectué diverses poursuites auprès de Sony et de Microsoft en 2006, pour les mêmes raisons que Nintendo. La société prouve donc qu'elle a les dents longues.
Source :
Next-Gen