Mais les frères Guillemot n’avaient clairement pas l’intention de se laisser faire. Ils avaient indiqué explorer diverses ripostes, parmi lesquelles le renforcement de la présence familiale dans les capitaux de leurs sociétés. C’est ainsi que la participation familiale dans Gameloft, où celle de Vivendi commençait à devenir importante (elle atteignait 17,34 % aux dernières nouvelles), a été montée à 15,24 %, d’après un document de l’AMF. Cela porte à 23,82 % le droit de vote de la famille Guillemot. Même si Vivendi conserve sa place de premier actionnaire, il reste derrière concernant les droits de vote. Avant le rachat d’actions, la famille Guillemot détenait 13,82 % du capital et 22,57 % de droit de vote.