Pour Yves Guillemot, interrogé par Les Échos, "on n'entre pas dans une société en cassant la porte". Le PDG et cofondateur d’Ubisoft parle d’une "agression" et de "méthodes d'activiste". Soupçonnant un conflit d’intérêts, sachant que Vivendi possède encore des actions dans Activision Blizzard (5,7 %), il rejette toute idée de fusion avec ce dernier.
Yves Guillemot n’a en tout cas pas l’intention de se laisser faire. Il n’hésitera pas à chercher de nouveaux partenaires et à renforcer la participation de la famille, qui détient actuellement 9 % du capital et 16 % de droit de vote, pour faire barrage à Vivendi.
Source :
Reuters